Ce qui rompt l’affiliation sur-le-champ

Fasl el Maqal Fima Yourfa’ el idhnou fil hel Fi Tariqa Qoutb El Maktoum Sidi Ahmed ibn Mohammed Tidjani – Essai tranchant sur ce qui rompt l’affiliation sur-le-champ dans la Tariqa du Pôle Caché Sidi Ahmed ibn Mohammed Tidjani (Qu’Allah sanctifie son précieux secret)

« Louange à Allah et que la prière et la paix soient sur le Messager d’Allah :

Sidi Mohiedine ibn ‘Arabi (qu’Allah l’agrée) a dit, dans Foutouhat Mekkiya, au chapitre 181, dans la connaissance de la station du respect des Chouyoukh : « Sache que tout comme il ne peut y avoir le partage de deux divinités pour la même créature, ni le partage de deux messagers (sur eux la paix) à la Loi divergente pour le même individu, ni le partage de deux maris pour la même épouse et bien de même, il ne peut y avoir le partage de deux Cheikh pour le même disciple au sein d’une éducation. S’il s’agit d’une compagnie sans éducation, alors il n’y a aucune inquiétude à avoir en la compagnie de n’importe quels Chouyoukh, car il ne se retrouve pas sous son autorité et c’est ce qu’on appelle la compagnie pour la bénédiction ».

La même chose a été évoquée par le savant enraciné Ibn Hajr dans la conclusion de son recueil de fatwas, ainsi que Cheikh Cha’rani, Sidi Abdelaziz Dabbagh, Charaïchy, l’Imam Fêsi, Cheikh Zarrouq et d’autres (qu’Allah les agrée).

La défense des visites a aussi été évoquée par Sidi Mohamed Kounty, dans Jounat El Mourid, par Ali Khawwas et Sidi Abdelwahhab Cha’rani, dans Mawathiq wal ‘Ahoud, et cela a été rapporté de la part de certains des piliers de la Tariqa Djounoudiya et autres dans Bahjatou Souniya fi Adeb Naqchbandiya, ainsi que Cheikh Ibn ‘Ajiba Chadhili, le commentateur des Hikam et Sidi Mohamed Wafa (qu’Allah les agrée).

Le Cheikh Dardiri a dit, dans Kharidatou Bahiya fi Tawhid, en évoquant certaines bienséances attribuées aux gens des voies spirituelles : « Parmi celles-là, il y a le fait de ne visiter aucun saint tant qu’il se trouve dans une éducation et avant d’y avoir abouti. Cela, par crainte de constater un prodige ou un fait extraordinaire en eux qu’il n’a jamais constaté en son propre Cheikh. Il risquerait alors de le considérer comme insuffisant et d’être ainsi privé de son irrigation »

Cheikh Sawi a annoté, concernant le commentaire de ces propos : « Sa parole “le fait de ne visiter aucun saint” cela veut dire vivant ou mort sauf avec la permission. Malgré cette défense, aucun ne considère que les visites sont illicites (Haram), que ce soit pour les Aouliya ou autres qu’eux. Il s’agit juste d’une allusion à la défense que ferait un médecin »

Cheikh Mounir Samanoudy a bien éclairci ce point à profusion, dans Touhfat salikin, faisant référence des dires des grands Connaissants. Il est également le frère de Cheikh Dardiri et tous deux sont disciples de Cheikh El Hafni.

Ainsi, l’attitude de convenance qui va suivre est énoncée dans tous les livres des éducateurs de chaque voie. À travers cela, notre recherche est seulement de ne pas outrepasser la bienséance des gens de la voie (qu’Allah les agrée), sans avoir l’intention de froisser ceux qui ne connaissent pas leurs voies ou qui s’indignent : « Pardonne, ordonne-le convenable et éloigne-toi des ignorants »

Au Nom d’Allah le Tout-Miséricordieux, le Très-Miséricordieux

Louange à Allah, et, ô mon Seigneur, prie, salue et bénis notre maître Mohammed, ainsi que sa famille, ses compagnons et celui qui le suit.

Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret) a dit :

« Trois points essentiels sont cause de ruptures du disciple avec nous :

– Prendre une autre oraison avec notre oraison

– La visite des Aouliya (les vivants ou les morts)

– Abandonner l’accomplissement des oraisons ».

1. Prendre une autre oraison avec notre oraison.

Elle n’est valide qu’en étant accomplie seule, exclusivement, jusqu’à la mort et celui qui possède déjà une oraison ou une Tariqa, il ne sera possible de lui transmettre la Tariqa Tidjaniya que s’il délaisse entièrement cette oraison et cette Tariqa, sans jamais y revenir.

Il est dit dans Djawahirou-l-Ma’ani :

« Sache que cette oraison est immense, elle ne peut pas être transmise à celui qui possède déjà une oraison d’entre les oraisons des Chouyhoukh sauf s’il la délaisse sans jamais y retourner. C’est à partir de ce moment-là qu’elle pourra lui être transmise par ceux qui ont l’autorisation particulière. Mais, dans le cas contraire, qu’il le laisse avec son oraison, car les oraisons de tous les Cheikh (qu’Allah les agrée) sont droiture et vérité, et tous sont des chemins et des liens vers Allah » .

Celui qui, après avoir pris la Tariqa Tidjaniya, récite une oraison d’entre les oraisons des Cheikh, qui est obligatoire pour l’entrée dans leur voie, ou alors qui a pris une autre Tariqa, il rompt de ce fait son affiliation d’avec la Tariqa Tidjaniya.

2. La visite des saints morts ou vivants.

Que ce soit par une visite effectuée corporellement en se rendant auprès d’eux dans l’objectif de tirer ou non un quelconque profit. De même, par l’intention du cœur en y recherchant un avantage et simplement par cette intention. Ou bien encore, que ce soit par son cœur et sa langue sans se rendre auprès d’eux.

C’est aussi le cas pour ce qui s’apparente à une visite, comme demander une invocation en sa faveur, leur octroyer la récompense d’une adoration comme la lecture du Coran, la prière, l’évocation, le vœu pieux, l’aumône et tout ce qui est semblable à ces actes, que les gens accomplissent pour les Aouliya en vue d’obtenir un profit ou de repousser un mal.

Cela comprend également, la demande de médiation, d’irrigation, de secours, d’appel à l’aide. De même, dans la demande de profit ou la préservation contre les malheurs ou dans la recherche de bénédiction et de guérison, que ce soit par la personne elle-même ou simplement par ses traces et tout ce qui permet de relier la personne à leur irrigation, leur lumière, leurs prodiges. Est aussi incluse l’assise dans les cercles d’évocations qui ne sont pas ceux de maîtres Tidjani (qu’Allah les agrée).

Celui qui désire cette voie doit se contenter dans la visite des prophètes (sur eux la paix), des compagnons du Prophète (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui), de Sidi Ahmed Tijani (qu’Allah sanctifie son précieux secret) et de ses compagnons (qu’Allah les agrée). Quant aux gens ordinaires n’étant pas des Aouliya, il est permis de les visiter vivants ou morts pour Allah et non pour une raison particulière ou un bien intéressé.

Sache que Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret) permettait au début la visite des saints morts à ses compagnons, mais sans l’objectif d’attirer un profit, une bénédiction ou autre par ce lien, comme il est mentionné dans le Djawahirou-l-Ma’ani, contrairement aux vivants, car il l’a catégoriquement défendu que ce soit dans l’objectif de tirer profit de la personne ou non.

Ensuite, il l’a défendu aussi pour la visite des morts afin d’empêcher tout prétexte. Il est certes établi que cheikh s’est rétracté par rapport à sa position initiale. Il a défendu les visites, s’est maintenu sur cette défense et c’est sur cette affirmation qu’il a laissé ses compagnons dignes de confiance.

Or, l’auteur de Djawahirou-l-Ma’ani (Sidi Hajj Ali Harazim (qu’Allah l’agrée)) a fini de le rédiger avant le décès de Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret), et personne n’ignore au sujet de Djawahirou-l-Ma’ani que certaines règles, survenues après sa rédaction, ne sont pas notifiées dans ce livre.

Mais, par contre, la défense totale est bien mentionnée dans le Jama’ de Sidi Mohammed ibn Mechri (qu’Allah l’agrée) qui succéda à l’auteur du Djawahirou-l-Ma’ani dans la compagnie de Seïdina (qu’Allah l’agrée) et qui décéda également avant lui. De même, cette interdiction est évoquée par l’auteur d’Ifadat-l-Ahmediya (Sidi Taïeb Sefiani (qu’Allah l’agrée)), qui lui, a survécu après la mort de Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret).

Sidi Mohamed Janouna dit, dans Raf’ El ’Itab :« J’ai certainement vu une copie de Djawahirou-l-Ma’ani écrite par la main de Sidi Mohamed Belkacem, qui fait partie des plus réputés compagnons de Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret), dans laquelle il est annoté que Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret) s’est rétracté sur ce qu’il permettait dans la visite des saints morts en le défendant désormais totalement »

Selon Abou AbdAllah Kenssoussi (qu’Allah l’agrée), il est rapporté que certains compagnons ont interrogé Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret) sur la question suivante : s’ils passaient auprès du mausolée de Maoulana Idriss (qu’Allah l’agrée), devaient-ils se rendre auprès de lui pour le saluer ?

Il leur répondit qu’ils ne devaient point se rendre auprès de lui pour le saluer et il dit : « Tout le monde se trouve dans un domaine alors que moi et mes compagnons nous sommes dans un tout autre domaine et tout le monde se trouve dans une direction alors que moi et mes compagnons nous sommes dans une tout autre direction ».

Par conséquent, il apparaît clairement que ce qui a été évoqué dans le livre El Jaïch est une erreur et que son auteur (Sidi Mohamed ibn Mohamed Saghir Chinguitti – (qu’Allah l’agrée)) est excusé par le fait qu’il ne lui est parvenu que ce qui est contenu dans le livre Djawahirou-l-Ma’ani.

Or, cela a été abrogé et cette abrogation certaine a été retranscrite par des gens de confiance. Donc, ce qui est établi, c’est la confirmation de l’interdiction, car ce qui a été maintenu est une preuve sur ce qui ne l’est pas. Parmi ceux qui ont évoqué cette abrogation, il y a Sidi Arbi ibn Sa_ih (qu’Allah l’agrée) dans le Boughiya, il a dit : 

« Ce qui est dans le livre Djawahirou-l-Ma’ani, sur le fait que le disciple peut visiter les saints morts, sous la condition de ne mettre que l’intention en vue de la relation avec Allah (qu’Il soit Glorifié et Exalté), et ne demandant auprès d’eux que l’agrément d’Allah (qu’Il soit Glorifié et Exalté), de Son Messager (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui) et l’agrément de son Cheikh et non pas autre chose ; ceci est véridique. Car, l’interdiction des visites est en rapport avec le fait de vouloir tirer un profit du visité. Or, dans cette situation, cela est rejeté puisqu’on a pour objectif la relation avec Allah (qu’Il soit Glorifié et Exalté).

Mais, seulement cela n’est valable que pour celui qui s’est réalisé dans le degré de la pure sincérité et qui est parvenu à la purification intérieure, à la limpidité de l’âme au point de ne jamais être touché par l’obscurité d’entre les souillures et les manigances de l’âme.

Quant à celui qui est piégé par ses caprices et emprisonné dans la cage de ses passions et de son insouciance, celui-là ne connaît pas le lien pour Allah (qu’Il soit Glorifié et Exalté). Et si sa propre âme souillée a cette prétention, ce n’est qu’une de ses duperies et de ses manigances et non autre chose et certes Seïdina Ahmed Tijani (qu’Allah sanctifie son précieux secret) disait : « Le commun des gens ne connaît pas ce qu’est l’œuvre pour Allah ».

Par conséquent, tout le bien, pour nous les gens faibles et voilés, est réuni dans la préoccupation de l’état de nos âmes et le fait de ne pas se laisser abuser par quoi que ce soit de ses prétentions jusqu’au point de se laisser tenter par leur mise en œuvre, mais au contraire, d’y prendre garde.

C’est pour cela que Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret) fut ordonné, à la fin de sa vie, de fermer cette porte et qu’il a retenu ce principe dans les fondements. C’est ainsi que cette pratique s’est perpétuée auprès de l’ensemble des compagnons après lui… »

Il y a similitude avec ce qui a été évoqué précédemment, et sur ce dont l’auteur du Jaïch peut-être encore excusé, du fait qu’il a aussi prétendu que Seïdina Cheikh (qu’Allah sanctifie son précieux secret) n’étendait pas le tissu de son vivant, mais que c’est ce que ses compagnons ont trouvé préférable de faire après sa mort. Or, il est bel et bien établi que cela fut effectué en sa présence.

Il est excusé par le fait que l’événement ne lui fut point rapporté en raison de la grande distance séparant son pays de celui de Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret). La pose du drap du vivant de Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret) a aussi été évoquée dans le Mouniya.

N’entre point dans le cadre des visites, la participation aux assemblées de science d’un Waly, mais avec la condition que l’étudiant distingue bien qu’il ne recueille la science auprès de lui que parce qu’il est un savant honnête, digne de confiance, ne trichant pas dans la transmission du savoir. Par contre, s’il recherche l’obtention de sa bénédiction pour la compréhension, sa méditation spirituelle ou son irrigation, même uniquement pour la compréhension de ses propos ou quelque chose de ce genre, alors il a rompu d’avec la voie. En effet, il s’agit ici de catégories de profits recherchés à travers la particularité de sa sainteté.

Cet ensemble n’empêche point pourtant de faire preuve de respect envers nos maîtres, les Aouliya (qu’Allah les agrée). Car les aimer, les respecter, les honorer est une chose et vouloir se contenter du Cheikh (qu’Allah sanctifie son précieux secret) par rapport à eux est une autre chose. Nous cherchons, de ce fait, à les respecter, les honorer, les aimer, dans tout ce qui ne nous rompt pas d’avec notre Cheikh (qu’Allah sanctifie son précieux secret), tel qu’être satisfait d’eux lorsqu’ils sont évoqués.

Nous avons constaté, chez certains grands compagnons de Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret), que lorsqu’ils récitaient la Fatiha, ils la récitaient en faveur du Prophète (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui), des prophètes (sur eux la paix), des compagnons du Prophète (que la prière et la paix d’Allah soient sur lui), de Seïdina Ahmed Tijani (qu’Allah sanctifie son précieux secret) et de ceux qui l’ont suivi. Ceci afin de profiter d’un influx de leurs parts. Quant aux communs qui ne sont pas des Aouliya, ils le faisaient dans l’objectif de leur octroyer un influx sans rien attendre d’eux.

Par contre, concernant les Aouliya, ils n’exprimaient rien du tout et ils ne récitaient pas pour eux, ni pour recevoir, ni même pour donner. Ils se contentaient de rester neutres par égard à leur valeur (qu’Allah les agrée), en se gardant de laisser entrevoir par leur attitude, une quelconque suffisance vis-à-vis d’eux, et louange à Allah qui nous a comblés par les gens de la source pure, qu’Allah les agrée tous.

3. L’abandon des oraisons par rejet total

Il s’agit du rejet de l’observance de la voie. Il est nécessaire, pour la personne qui désire s’y affilier, d’être fortement déterminé à ne pas se laisser rompre d’avec elle, et d’y persister constamment en respectant ses conditions jusqu’à la mort.

Ses oraisons deviennent indispensables par son engagement auprès d’elle et la voie ne peut s’octroyer qu’avec cette condition. Ces oraisons sont donc un devoir réclamé pour toute la vie, sauf en cas d’excuse valide telle que la maladie, les menstrues et les lochies.

De même, fait partie de ce point toute insulte, haine ou hostilité à l’égard de Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret) ou répugnance du disciple à être lié à la voie au moment où il lui était possible de le faire savoir.

Par exemple, lorsqu’on lui demande : « Es-tu Tidjani ? », et lui de répondre : « Non », ou encore en préférant dire être affilié à une autre voie qu’elle. Cela constitue un rejet de la voie. C’est aussi le cas pour l’apostasie qui est un rejet de l’Islam et qui est également, de ce fait, un rejet majeur de la voie. Tous ces points entrent dans la catégorie de l’abandon des oraisons.

Il en est de même concernant celui qui récite les oraisons sans remplir leurs conditions de validité :

– Soit parce qu’il croit tout de même en leur validité bien qu’il connaisse pourtant les propos de Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret) à ce sujet, alors il le dément et croit le corriger. Et dans le cas où il ne le sait pas, il se doit d’apprendre.

– Soit, il ne croit pas en leur validité et alors c’est un mépris à leur égard et personne n’ignore les dommages qu’il en récoltera.

Celui qui autorise à qui que ce soit d’accomplir ce qui est objet de perte de la Tariqa, celui-là aussi l’a perdu. C’est également le cas pour le Mouqadem qui octroie les oraisons sans informer des conditions d’affiliations, tel que ce fut mentionné dans certains diplômes où il est dit : « Celui qui enfreint nos conditions a été dépouillé de son affiliation »

Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret) a dit aussi dans Djawahirou-l-Ma’ani : « Tous ceux que j’ai autorisés et ordonnés pour octroyer nos oraisons et donner notre Tariqa, se doivent de se conformer à cette condition de ne point l’octroyer à celui qui détient l’oraison ou la Tariqa d’un autre Cheikh. S’il le fait tout de même et y contrevient, il a alors été certes dépouillé de l’autorisation et il ne bénéficiera plus d’aucun avantage pour lui-même, ni ceux qui auront reçu de lui. Qu’il agisse et œuvre conformément à cette condition, et Salam »

Celui qui accomplit une de ces causes de rupture a perdu son affiliation sur-le-champ. S’il transgresse une des autres conditions restantes, cela le conduira vers ce qui peut rompre son affiliation. Celui qui perd son affiliation, c’est là le signe qu’il fait partie de ceux sur qui s’abattront les menaces évoquées par Seïdina (qu’Allah sanctifie son précieux secret) tant qu’il ne se repent pas et ne s’affilie de nouveau avec ses conditions et en s’y conformant.

Mon Dieu ! Accorde Ta prière à notre seigneur Mohammed qui a ouvert ce qui était clos, qui a clos ce qui a précédé, le défenseur de la vérité par la vérité, le guide du droit chemin, ainsi qu’à sa famille suivant sa valeur et l’estimation de son ultime dignité.

Texte écrit par le savant et Connaissant, le spécialiste en science du Hadith, Cheikh Mohamed El Hafidh El Misri Tidjani (qu’Allah l’agrée).

Recherche et traduction par la Zaouiya Tidjaniya El Koubra d’Europe